الثلاثاء، 24 فبراير 2009

la rèesumé de chapitre 6 -L'ile au tresor-

De l'utilité d'un tonneau de pommes
A l'intérieur du tonneau des pommes et suite à la conversation entre Silver et le matelot Dichk.Jim découvre que le cuisinier n'est en réalité qu'un pirate qui travallait sous les commandes du terrible Flint.
Jim et ses amis se réunissent pour planifier ce qu'ils vont faire sur l'ile de squelette : L'ile où est enterré le tresor .
Comme les pirates peuvent se méfier de Jim , ce gamin propose de les urveiller.

la rèsumé de chapitre 5 -L'ile au tresor

A bord de l'Hispaniola
L'Hispaniola démarre vers li'ile au tresor ayant comme capitaine un certain Smollet . Ce dernier n'aime pas son équipage et ne lui fait pas confiance . Son second est un ivroyne qui va mourir sur le bateau .
Le voyage se déroule très bien et le bateau arrive à résister aux tempete . Un jour , Jim entendait une conversation entre John Silver et un matelot : de quoi parlent-ils!!! ensuite

la rèsumé de chapitre 4 -L'ile au tresor-

L'équipage
Jim attends à la maison du docteur Liversey avec le vieux Redruth les préparatifs du voyage .Aprèes avoir trouvé le bateau *L'hispaniola* et l'équipage, Jim se rend avec le ieux à Bristol , le lieu de départ. a l'auberge, il fait la connaissance de Silver , l'unijambiste et le trouvé très sympatique , Jim apercoit Chien Noir , les hommes de John Silver le poursuivent , mais l'assassin de Bill arrive a s'échapper

la rèsumé de chapitre 3 "L'ile au tresor "

Une carte
Après s'etre échappé à la bande des assaillants ,Jim Hawkins se refugea chez le docteur Liversey
laquel était entrain de diner avec son ami M.Trelawneyk le Jim leur montra le paquet trouvé dans le coffre
C'était la carte au trèsor .Apres savoir déterminé le lien du tresor .Le squire propose de s'aoccuper du bateau et de l'équipage pour aller à la conquete du trèsor

الخميس، 12 فبراير 2009

L'ile au tresor : Chapitre 2

Le capitain blessé à l'épaule sait que le Chien Noir va le tuer , Jim perd son père quatre jours auparavant , Un jour un vieil aveugle arriva devant l'auberge pour voir Bill et lui glissa une chose dans la main , c'était un meesage ou il leur rend le coffre ou ils le tuent .Mais le capitain est mort suite à sa blesse . Jim et sa mère prennent ce qu'il y avait dans le coffre et sortirent de peur que les malfaiteurs arrivent.

L'ile au tresor : chapitre 1

Jim Hawkins travaillait avec son père dans leur auberge . Un jour , Bill , un capitain arriva à leur hotel et resta trois ans à l'attente d'un unijambiste. ce dernier lui envoya un homme s'appelait Chien Noir pour le tuer . Ils eurent alors une violente dispute

الثلاثاء، 10 فبراير 2009

L'ile au tresor : chapitre 1

Le vieux loup de mer à l’Amiral Benbow

Le squire Trelawney, le docteur Livesey et autres gentlemen m’ayant demandé de coucher par écrit tous les détails concernant l’Ile au Trésor, du début à la fin, sans rien omettre sauf la position de l’île et ceci seulement parce qu’il s’y trouve encore un trésor, je prends ma plume en l’an de grâce 17.. et reviens au temps où mon père tenait l’auberge de l’Amiral Benbow, et où le vieux marin hâlé, balafré d’un coup de sabre, commença à loger sous notre toit.
Je me souviens de lui comme si c’était hier, lorsqu’il arriva d’un pas lourd à la porte de l’auberge, son coffre de marin le suivant dans une brouette ; un homme grand, fort, massif, au teint noisette, ses cheveux retombant en une tresse poisseuse sur les épaules d’un habit bleu et sale ; les mains rugueuses et pleines de cicatrices, aux ongles noirs et cassés ; et le coup de sabre au travers de la joue, d’un blanc sale, livide. Je le revois, parcourant la crique du regard et sifflant pour lui-même, ainsi qu’il le faisait avant d’entonner ce vieux chant de marin, qu’il chanta si souvent par la suite :
Quinze hommes sur le coffre du mort – Yo-ho-ho, et une bouteille de rhum !
d’une vieille voix aiguë et chevrotante, qui semblait avoir été accordée et brisée aux barres du cabestan.Il tenait une espèce de bâton semblable à un anspect,avec lequel il frappa à la porte, et lorsque mon père apparut, lui demanda grossièrement un verre de rhum. Quand celui-ci lui fut apporté il le but lentement, en connaisseur, tout en continuant à regarder les falaises alentour, puis notre enseigne.
— Pas mal, comme crique, dit-il finalement ; et l’auberge est bien située. Beaucoup de monde, camarade ?
Mon père lui répondit que non, très peu de clients, et que c’était bien regrettable.
— Bien, alors, fit-il, c’est le mouillage qu’il me faut. Viens ici, l’ami, lança-t-il à l’individu qui poussait la brouette ; accoste là et aide à monter mon coffre. Je vais rester un peu ici, continua-t-il. Je suis un homme simple ; du rhum et du bacon aux œufs, c’est tout ce qu’il me faut, et ce promontoire-là pour observer les navires au large. Comment pourriez-vous m’appeler ? Vous pourriez m’appeler « Capitaine ! » Ah ! je vois ce que vous attendez – voilà ; et il jeta trois ou quatre pièces d’or sur le seuil. Vous me direz quand je serai au bout de ça, dit-il, farouche comme un commandant.
Et en réalité, aussi piètres que fussent ses vêtements et aussi rude que fût son langage, il n’avait aucunement l’apparence d’un homme qui avait navigué comme simple matelot ; il ressemblait plutôt à un officier ou à un patron, habitué à être obéi ou à frapper. L’homme à la brouette nous apprit que la malle-poste l’avait laissé la veille au matin devant le Royal George, qu’il s’était enquis des auberges situées le long de la côte, et qu’entendant dire du bien de la nôtre, je suppose, lui ayant été décrite comme isolée, il l’avait choisie parmi d’autres comme résidence. Et ce fut tout ce que nous pûmes apprendre sur notre hôte.
D’habitude il était très silencieux. Toute la journée il parcourait la crique ou les falaises avec une longue-vue de cuivre ; le soir il s’asseyait dans un coin de l’arrière-salle, près du feu, et buvait force rhum arrosé d’eau. La plupart du temps il ne répondait pas quand on lui adressait la parole ; il se contentait de relever brusquement la tête d’un air farouche et de souffler par le nez comme une corne de brume. Aussi, nous et les gens qui fréquentaient la maison apprîmes-nous bientôt à le laisser tranquille. Chaque jour quand il revenait de sa promenade, il demandait si un navigateur n’était pas passé sur la route. Tout d’abord nous pensâmes que c’était le manque de compagnons de son genre qui lui faisait poser cette question, mais à la fin nous nous aperçûmes qu’il voulait en fait les éviter. Quand un marin descendait à l’Amiral Benbow (comme certains le faisaient de temps à autre, en route pour Bristol par la côte), il l’observait à travers les rideaux de la porte avant de rentrer dans l’arrière-salle, et l’on pouvait alors être sûr qu’il se ferait aussi petit qu’une souris tant que l’autre serait là. Pour moi du moins, cela n’avait rien de mystérieux, car je partageais, d’une certaine manière, son inquiétude. Un jour il m’avait pris à part et m’avait promis une pièce d’argent de quatre pennies le premier de chaque mois si seulement je voulais « veiller au grain et l’avertir si un navigateur à une jambe survenait. » Assez souvent, lorsque arrivait le premier du mois et que je lui réclamais mon salaire, il se contentait de souffler par le nez, en me regardant fixement de toute sa hauteur ; mais avant que la semaine ne fût écoulée, il ne manquait pas de revenir à de meilleurs sentiments, me donnait ma pièce de quatre pennies et répétait son ordre de « veiller au navigateur à une jambe. »
À quel point ce personnage hantait mes rêves, j’ai à peine besoin de le dire. Par les nuits de tempête, quand le vent secouait les quatre coins de la maison et que le ressac rugissait le long de la crique et montait à l’assaut des falaises, je le voyais sous mille formes et avec mille expressions diaboliques. Tantôt la jambe était coupée au niveau du genou, tantôt à la hanche ; tantôt c’était une sorte de créature monstrueuse qui n’avait jamais eu qu’une seule jambe, celle-ci au milieu du corps. Voir cet être sauter et courir à ma poursuite par-dessus les haies et les fossés était le pire des cauchemars. Et tout compte fait, je payais joliment cher, par ces abominables fantasmagories, ma pièce d’argent mensuelle.
Mais, aussi terrifié que je fusse à l’idée du navigateur à une jambe, j’étais beaucoup moins effrayé par le capitaine lui-même que n’importe qui de ceux qui le connaissaient. Il y avait des soirs où il prenait un peu plus de rhum que sa tête n’en pouvait porter, et alors il s’asseyait parfois et chantait ses méchantes chansons de marin, vieilles et sauvages, sans faire attention à personne ; d’autres fois cependant, il offrait une tournée et contraignait toute la tremblante assistance à écouter ses histoires et à reprendre en chœur ses refrains. J’ai souvent entendu la maison secouée par des « Yo-ho-ho et une bouteille de rhum ! », tous les voisins se joignant au chœur pour leur chère petite vie, la crainte de la mort sur eux, chacun chantant plus fort que son voisin pour éviter une remarque. Car dans ces crises il était le plus tyrannique convive jamais vu ; il frappait la table de la main pour exiger le silence alentour ; il s’emportait dans des accès de colère pour une question et parfois parce qu’aucune ne lui était posée, jugeant alors que la compagnie ne suivait pas son récit. Jamais non plus il n’aurait permis à quiconque de quitter l’auberge avant qu’il n’eût bu lui-même jusqu’à s’endormir, et n’allât se coucher en titubant. Ses récits étaient ce qui nous effrayait le plus. C’étaient des histoires terribles avec des pendaisons, des passages à la planche, des tempêtes en mer où il était question de l’île de la Tortue ainsi que d’actes de sauvagerie en d’autres lieux de la mer des Antilles. À l’entendre, il devait avoir passé sa vie parmi les êtres les plus féroces à qui Dieu eût jamais permis de parcourir les mers, et le langage dans lequel il nous narrait ces histoires choquait les braves gens de notre région presque autant que les crimes qu’il décrivait. Mon père disait toujours que nous serions ruinés, car les clients cesseraient bientôt de venir pour se faire tyranniser et rabrouer, et renvoyer tout tremblants dans leurs lits. Mais je crois en réalité que sa présence fut un bien pour nous. Sur le moment les gens étaient apeurés mais réflexion faite ils aimaient plutôt cela ; c’était un excellent divertissement dans une paisible vie campagnarde, et il y avait même une bande de jeunes qui prétendaient l’admirer, le dénommant « vrai loup de mer, vieux bourlingueur » et lui donnant d’autres noms semblables, disant que c’était à des individus de cette trempe que l’Angleterre devait d’être terrible sur mer.
D’une certaine façon cependant, il était en passe de nous ruiner, car il prolongeait son séjour semaine après semaine et enfin mois après mois, de sorte que son argent avait été épuisé depuis longtemps sans que mon père eût eu le cœur d’insister pour avoir plus. Si jamais il en parlait, le capitaine soufflait par le nez si fort qu’on aurait dit qu’il rugissait, et la fixité de son regard chassait mon pauvre père de la pièce. Je l’ai vu se tordre les mains après de telles rebuffades, et je suis sûr que les tourments et la terreur dans lesquels il vivait doivent avoir grandement hâté sa fin prématurée et malheureuse.
Tout le temps qu’il vécut avec nous, le capitaine ne changea quoi que ce fût à son vêtement, sauf qu’il acheta quelques paires de bas à un colporteur. Une des cornes de son chapeau étant tombée, il la laissa pendre à partir de ce jour, quoique ce fût très gênant en cas de vent. Je me rappelle l’aspect de son habit, qu’il rapiéçait lui-même en haut dans sa chambre et qui, vers la fin, n’était plus que pièces et morceaux. Il n’écrivit ni ne reçut jamais de lettres, et ne parla jamais à personne d’autre que les voisins, et à ceux-ci, la plupart du temps, seulement lorsqu’il était pris de rhum. Quant au coffre de marin, aucun de nous ne l’avait jamais vu ouvert.

Il ne fut contrecarré qu’une seule fois,

* جزيرة الكنز * في سطور

جزيرة الكنز مسلسل رسوم متحركة ياباني (أنمي) يعتبر من اروع المسلسلات التي تفنن اليابانيين في عمله. وتدور قصة المسلسل عن فتى اسمه جيم هوكنز يعشق مغامرات البحار. يلتقي جيم ببيلي بونز -أحد قراصنة فلينت- ليحصل منه على خريطة الكنز. ويساعده في البحث عن الكنز القبطان (جون سلفر). وقد تم انتاجه في نهاية السبعينات وعرض في الدول العربية في الثمانيات. دبلج للغة العربية في لبنان، وقد قام بأداء صوت جون سلفر الممثل وحيد جلال.
جزيرة الكنز هي رواية مغامرة من روائع الروائي الأسكتلندي روبرت لويس ستيفنسون، حيث قام بنشر الرواية لأول مرة عام 1883 ثم ظهرت نصوص معدلة بما يتناسب مع الأستعمال لأغراض الأعمال السنمائية والمسرحية وقصص الأطفال.

le résumé d'oevre * l'ile au tresor

Le récit est celui de Jim Hawkins, fils d’un tenancier de l'auberge « L'Amiral Benbow » dans un port anglais au XVIIIe siècle. Un jour, un vieux loup de mer nommé Billy Bones débarque à l'auberge et s'y installe. Jim est fasciné par le marin colérique, violent et ivrogne; d'autant qu'il semble peser sur ce dernier une obscure menace.
Celle-ci se précise lorsque Pew, un mystérieux aveugle, remet à Billy Bones « la tache noire », annonciatrice de mort dans le monde des pirates. Alors que les heures de Billy Bones sont comptées, il meurt, foudroyé par une crise d'apoplexie, tandis qu'au même moment, le père de Jim meurt d'une grave maladie.
En ouvrant le coffre du pirate, Jim et sa mère découvrent une carte indiquant la cachette d’un fabuleux trésor que la bande du fameux capitaine Flint a enfoui dans une île déserte.
Avec l’aide du docteur Livesey et du chevalier Trelawney, le châtelain du village, un navire baptisé l'Hispaniola est affrété pour partir à sa recherche.
Au cours de la traversée, Jim surprend une conversation entre le cuisinier, un personnage pittoresque à jambe de bois appelé Long John Silver, et des hommes d'équipage : il apprend ainsi que la plupart des marins à bord de l'Hispaniola font partie de la bande de Flint et qu'une mutinerie se prépare pour s'emparer du trésor.
Jim avertit ses amis du danger qui décident de ne pas agir avant d'être à terre tout en restant sur leurs gardes.
Lorsque l’île est atteinte, la lutte s’engage entre les deux groupes. Divers épisodes plus indécis les uns que les autres se déroulent (dans lesquels apparaît Ben Gunn, un pirate abandonné sur l'île par Flint), et pour finir le trésor tombe entre les mains des gentilshommes de naissance. L'Hispaniola reprend la mer avec sa précieuse cargaison et finit par regagner l'Angleterre, non sans que Long John Silver ait réussi à s'enfuir avec un sac de pièces d'or extraites du trésor lors d'une escale!
 

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